Sujet: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Sam 23 Nov - 14:56
Loïs Hyun-Ae Wolf
« Don't get too close, it's dark inside. »
Carte d'identité
Surnoms : évitez. Âge : seize ans. Date de naissance : vingt-six octobre. Lieu de naissance : New Ross, Irlande. Nationalité : irlandaise. Orientation sexuelle : pansexuelle. Groupe choisis : Emerald. Statut : (élève ou personnel) élève.
HELLO I LOVE PANDAS
Pseudo : Devine. ♥ Âge : Devine encore. ♥ Présence : Actuellement, je n'ai plus de pc. Donc je ne passerai que le weekend et/ou le mercredi après-midi pour le moment. En période de vacances par contre, je suis beaucoup plus active. (hé, il faut bien compenser un peu.) Comment as-tu connu Taiyou? La curiosité est un vilain défaut ! Et pour répondre à la question, à vrai dire, je le connaissais déjà. Une version antérieure, avec un design différent. J'aimais bien, mais bon. Voilà. Puis, là, je suis retombée dessus et pouf. Coup de coeur. Comme ça, sans prévenir. So, here I am now. Commentaires/Suggestions : Le design me fait penser à Slytherin. Et j'aime ça.
« i’m drunk and you still ugly »
♣ Couleur de yeux : Gris. Un gris métallique, orageux. ♣ Couleur de cheveux : Aussi noirs que du charbon. ♣ Coupe de cheveux : Ça change énormément. Un jour, elle les a courts. Un autre, elle les laisse pousser jusqu'au bas du dos. Un jour elle a une frange. Un autre, elle disparait. Un jour, elle les boucle. Un jour, ils sont lisses. ♣ Couleur de peau : Laiteuse. Pratiquement blafarde, par moment. ♣ Poids : Quarante-sept kilogrammes. ♣ Taille : Un mètre soixante-trois. ♣ Corpulence : Mince, frêle, chétive. ♣ Changement physique : Aucune. ♣ Particularité(s) : Deux tatouages. Un situé sur sa nuque, l'autre sur sa cheville gauche. Pour ceux qu'ils représentent, il ne vous reste plus qu'à souhaiter pouvoir les voir un jour. ♣ Complexe(s) : Ses yeux. Elle n'aime pas ses yeux. Ses yeux d'asiatique, de petite chinoise, de chintok. Vraiment, elle aimerait presque devenir aveugle par moment.
« we are a brainwashed generation »
Elle est là. Devant vous. Mais vous ne la voyez pas, car elle n'existe pas. Elle n'est pas là, pour vous. Et enfin, lorsque vous daignez poser vos yeux sur sa silhouette chétive, la seule chose qui vous traverse l'esprit est : depuis combien de temps est-elle là ? Car avouez-le, de ses yeux d'un gris transparent, de son regard qui transcende l'âme en un quart de secondes, vous la craigniez. Car émane autour d'elle cette chose, incompréhensible, mystérieuse, presque doté d'un charisme énigmatique mais dont on a peur. Car ce n'est pas naturel, car son regard est vide, ou plutôt faussement vide. Car vous observez cette barrière qu'elle place entre votre regard et le sien, vous le sentez. Hostile. Elle ne veut pas de vous dans son esprit. Pourtant, pour sonder le votre, elle n'a aucun scrupule. Elle vous observe telle une bête de foire, un spécimen rare. Décortique silencieusement toutes vos pensées, boit vos paroles, scrute vos moindres faits et gestes. Mais il n'en est rien. Car à la fin, elle s'éloigne avant même que vous ayez pu dire un mot. Comme si, las de votre personne, elle s'était mise en tête de rechercher quelque chose de plus intéressant. Coup de poignard en plein coeur. Votre orgueil en pris un coup. Finalement, vous pensez que vous la détestez.
Elle est comme ça, Loïs. Blasée du haut de ses seize années d'existence, elle recherche constamment de nouvelles sources d'intérêt. Elle donne l'impression de vous surplomber de toute sa splendeur, de toute sa grandeur, considérant les autres comme de misérables insectes bon à être écrasé. Émane d'elle cette arrogance insolente, cette prédisposition à être peste. Alors le mépris vient à elle comme une vieille amie avec qui elle s'est accommodée. Ainsi que la solitude, pour les compléter et former ce trio inséparable.
Mais derrière ce voile d'indifférence, que se cache-t-il réellement ?
Voyez par vous-même. Prenez des risques. Adressez-lui la parole. Prenez la peine de le faire, vraiment. S'habituer à quelque chose ne veut pas forcément dire l'accepter. Elle est juste fatiguée de lutter contre quelque chose dont les gens l'affuble sans la connaître. Et ils n'arrêteront jamais. Jamais. Un murmure ici, un murmure là. Des mots prononcés comme de l'arsenic, des paroles énoncées comme des coups de poignard. Un coeur blessé. Une solitude amère.
« what doesn't kill you fucks you up mentally »
Une femme se tient debout sur la scène. Le dos droit, le menton relevé, elle considère silencieusement le nombre de personnes assistant à son premier concert. Un violon dans sa main gauche, un archet dans celle de droite. Une inspiration profonde est prise et enfin, elle se lance. Les premières notes se jouent, emplissant la salle de cette douce mélodie. Elle ferme les yeux et se laisse emporter par ce mélodieux air guidant inconsciemment ses gestes. Car à ce moment-là, elle n’est plus sur cette scène. Elle se trouve dans une clairière, à l’herbe fraiche accompagnée de fleurs laissant un parfum enivrant. Le ciel est d’un bleu céruléen, si bien qu’on pourrait rapidement s’y perdre dans sa contemplation. Et puis, elle, elle est là, allongée sur l’herbe, une couronne de fleurs sur la tête, observant cette voûte céleste qui s’offre à elle. C’est si paisible, si tranquille que son morceau se termine déjà, et qu’elle rouvre les yeux. Mais elle reste interdite, encore plongée dans ses doux songes. C’est alors qu’on l’en arrache, par les applaudissements du public. Un sourire se dessine sur ses lèvres, et elle les remercie. Vraiment.
Elle sourit, se courbe, accepte les fleurs, les remercie. Elle sourit, se courbe, accepte les fleurs, les remercie. Elle sourit, se courbe, accepte les fleurs, les remercie. Ce petit manège dure de longues minutes, où elle ne cesse de recommencer ces quatre actions de façon machinale. Il y a tant de gens, tant de personnes qui sont venus assister à son concert, tant de personnes qui l’ont apprécié et qui sont venus le lui dire. Elle ne s’y attendait pas. Elle ne s’y attendait vraiment pas. Elle avait réussi, elle était rentrée dans ce monde qui semblait si loin de sa portée. Elle se tenait là, des bouquets en main à écouter leurs compliments et leurs encouragements chaleureux. C’était parfait, tout simplement parfait. Son regard parcouru la salle, mais s’arrêta un instant sur un homme. Il paraissait l’observer depuis le début, et quand bien même elle avait planté son regard dans le sien, il ne détourna pas les yeux. C’était troublant. La jeune femme fronça les sourcils et décida d’entrer dans son jeu. Il devait sûrement être âgé d’une trentaine d’années si ce n’est plus, mais c’était étrange de voir qu’il demeurait tout de même beau avec les quelques rides qu’il possédait au visage et son air las. Il dégageait un charisme envoûtant par son allure svelte, ses cheveux aussi noirs que le charbon, coiffé à l’aide d’un catogan mais surtout ses yeux. Ses yeux. Un gris métallique. Un regard insondable dans lequel on pouvait s’y perdre. Elle détourna finalement le regard, lorsqu’elle sentit son cœur rater un battement. Ce n’est qu’à ce moment-là, qu’elle remarqua qu’ils n’étaient plus que deux dans la salle. Un sentiment de malaise s’installa. Qui était-il ? Pourquoi la fixait-elle de la sorte ? Mais elle n’eut pas le temps de poser toutes les questions qui la tracassait à haute voix, qu’elle vit cet étrange personnage lui sourire et partir, tel un voleur. Car à ce moment-là, il lui avait pris son cœur.
Cinq mois. Cela faisait cinq mois depuis leur rencontre, et cinq mois qu’ils entretenaient cette relation malsaine. Celle d’amants. Elle le savait marié, elle le savait dès le début. Mais pourtant, elle ne pouvait se résoudre à ne jamais le revoir. Alors, elle accepta. Elle terra au plus profond de son âme ses sentiments et acquiesça silencieusement. Qu’elle était naïve, de croire qu’un jour il pourrait l’aimer à son tour. Qu’elle était naïve, de croire qu’un jour, la situation évoluerait et qu’il quitterait sa femme pour elle. Qu’elle était naïve de croire qu’il y aurait un nous, un jour. Qu’elle était naïve et stupide. Si stupide et si aveugle qu’elle se noya dans ces douces illusions, se laissa bercer par ses paroles mielleuses, se laisser abuser de ses mensonges empoisonnés. Pauvre jeune femme, trompée par les artifices de cet homme, pauvre jeune femme, trompée par ce voile noir qui recouvrait ses yeux et l’empêchait de se confronter à la vérité qu’il n’y aurait aucun futur pour eux. Elle n’était qu’un jouet, un passe-temps, rien d’autre. Et pourtant, son amour pour lui ne cessait de la tourmenter. Qu’importent les bassesses dont elle était victime, qu’importe absolument tout. L’amour est vicieux, l’amour nous crève les yeux. Cela ne dura pas plus de sept mois, où la femme de celui-ci découvrit l’effroyable secret qui reliait son mari à cette « pute ». Les voix s’élevèrent, insultes fusèrent, les gifles éclatèrent, les sanglots redoublèrent. Fini. Tout était fini. Sa carrière fut brisée, sa relation rompue, son cœur détruit, ses sentiments écrasés. Le pire dans tout cela, était sûrement le fait qu’elle attendait un enfant. De lui.
Elles vivaient dans une petite maison délabrée, sa fille et elle. Elle avait un métier de misère ainsi que des dettes accablantes et lorsqu’elle voyait son enfant, sa seule et unique, sa Loïs, si mince et si frêle, elle en tremblait de rage et de colère. Elle n’avait pas voulu avorter, Ô non elle n’aurait jamais voulu. Mais lorsqu’elle la regardait, une douleur vive se ranimait, ainsi que des souvenirs amers. Elle aurait voulu un autre avenir pour sa fille, pour sa chère et tendre petite fille. Et puis, elle lui ressemblait tellement que cela en devenait insupportable, au fur des années, où, plus elle grandissait, plus la ressemblance était frappante. Car même hors de sa vie, il continuait de la hanter. Jamais son amour ne s'était éteint. Pourtant, elle chérissait aussi son enfant. Elle était la preuve qu’il eut un jour existé ce lien qui les liait, et bien qu’elle regrettait tristement où sa bêtise l’avait conduite, elle ne l’aurait jamais eu. Alors finalement, elle ne disait rien, ne se plaignait de rien, se taisait et continuait de l’élever, autant qu’elle le pouvait, pour que sa petite princesse devienne un jour une femme dont elle serait fière.
La petite s’était découverte une passion pour la musique. Ce n’était pas étonnant, la mère l’ayant bercée dans cet art dès son plus jeune âge. Mais contrairement à celle-ci, elle préférait le rock au classique. Ce qui ne semblait en aucun cas gêner sa génitrice, qui au contraire, l’encourageait davantage à s’affirmer. Vint ainsi sa première guitare électrique et son premier amplificateur, que sa mère lui offrit pour Noël. Loïs n’était pas dupe, elle savait que sa mère avait travaillé d’arrache-pied pour la lui offrir : ses mains étaient recouvertes de cicatrices et de blessures. Ce fut d’ailleurs pour cette raison, que la jeune fille redoubla d’efforts pour tout apprendre de l’instrument et ne point la décevoir. La chose à laquelle elle ne s’attendait pas, était la facilité avec laquelle elle acquérait et accumulait les aptitudes et les capacités, gagnant rapidement en techniques ainsi qu’en savoir, où elle tarda guère à assimiler le solfège et toutes ces autres notions musicales. Avoir une mère qui était une ancienne musicienne aida largement, en plus de posséder certaines prédispositions. Ce fut également à ce moment-là que sa mère entendit parler de cette école, Taiyou Gakuen, qui regroupait les « génies » du monde en leur offrant une bourse pour qu’ils puissent étudier gratuitement. La décision ne se fit pas attendre : elle inscrivit sa fille aussi vite qu’elle put. Elle voulait que sa fille puisse avoir le meilleur avenir possible, l’avenir qu’elle ne put jamais avoir.
Autant dire que la jeune femme n’avait jamais vu sa fille aussi sérieuse et déterminée. Elle ne doutait pas du talent que possédait l’adolescente, mais se surprit tout de même à craindre l’échec et la déception qui se lirait sur le visage de celle-ci si jamais, cela ne fonctionnait pas. Mais contre toutes attentes, Loïs passa le test et réussi haut-la-main la partie « musique », ce qui n’était pas tellement le cas pour l’examen normal, où elle passa à cinq points de près. C’est de cette façon qu’elle adressa des aux revoirs touchants à sa mère et se retrouva dans ce pensionnat.
♣ OC by Kwbr32
Dernière édition par Loïs H. Wolf le Lun 23 Déc - 12:04, édité 15 fois
Ayame Conzallone
Dire ce qu'on ne fait pas, faire ce qu'on ne dit pas.
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Sam 23 Nov - 23:24
Bienvenue a Taiyou ♥ Bon courage pour écrire ta fiche ;) Tavu un peu il gère le design hein
Sinon ton vava roxx du petit poney rose *.*
Ayumu Rengu
Don't look behind my walls, I'm afraid of what you'll see.
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Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 24 Nov - 0:26
BIENVENUEEEEE ♥
Ahaha, une fan de Slytherin, copiiiiiine 8D (je kiff cette maison ET EN PLUS, à chaque fois que je fais la répartition sur Pottermore, je suis envoyée là-bas x))
Ayame Conzallone
Dire ce qu'on ne fait pas, faire ce qu'on ne dit pas.
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 24 Nov - 2:51
MOI AUSSI JE SUIS FAN DE SLYTHERIN EUH ! nan mais Snape quoi *.* (oui j'aime ce perso et oui tout le monde me trouve folle pour ça)
Loïs H. Wolf
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Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Mar 26 Nov - 2:44
JE VOUS AIME DEJA. ♥ D'façon, Slytherin c'la maison la plus roxxor. Même Merlin était Serpentard, c'pour dire. ~ Merci pour l'accueil, btw. ♥ (Et tout le monde l'aime. C'est juste OBLIGE.)
Ayumu Rengu
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Messages : 534 Date d'inscription : 31/07/2013
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Mar 26 Nov - 3:54
Uhuh, tu as raison 8D Courage pour le reste de ta fiiiiche ♥ Je me demande quelle sera l'histoire de Loïs ^^
Bakura K. Imeyama
Je suis un(e) rebelle.
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Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Sam 30 Nov - 4:13
WELCOME ! J'kiffe ton vava, j'ai toujours adoré les créations de cet artiste *_* Bref, tu m'plais bien, toi ♥
Loïs H. Wolf
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Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 1 Déc - 0:33
Jai toujours raison. /out/ Thaaaaanks. ♥ Héhé. Je te réserve la surprise. ~
MERCI ! ♥ Ohoh. Je ne pense pas que tu réalises à quel point il est dangereux de dire cela avec Shin en guise d'avatar. 8D But thanks again ! ♥
Ayumu Rengu
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Messages : 534 Date d'inscription : 31/07/2013
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 1 Déc - 1:59
Tu as terminé ta fiche ? ^^ (je vois que tu as posté l'histoire, mais je sais pas si elle est terminée ou pas vu son originalité ♥)
Bakura K. Imeyama
Je suis un(e) rebelle.
Messages : 62 Date d'inscription : 07/11/2013
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 1 Déc - 3:50
Ahaha je t'en prie Que veux tu dire...? I'm sexy and I know it De toute façon tu pourras rien me faire je suis plus fort que toi, tu finirais très vite à genoux devant ma splendeur Oui je sais, je suis un floodeur de fiches...
Loïs H. Wolf
Je suis un(e) artiste.
Messages : 21 Date d'inscription : 23/11/2013
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 1 Déc - 5:37
Non, pas encore. Ce n'est que le début, mais la suite arrivera d'ici peu. ~ (Tant d'éloges à mon égard. J'en meurs d'embarras.)
Ose ! Loïs peut te faire tomber par terre en un effleurement –et ouais, c'comme ça. Tu lui fais pas peur avec ton un mètre soixante-douze et tes pathétiques soixante-deux kilogrammes. èé Prout ! Pendaison collective ?
Aranel Swen
Je suis un(e) artiste.
Messages : 253 Date d'inscription : 23/08/2013 Localisation : Posée sur mon séant !
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 1 Déc - 6:23
C'est quoi Slytherin ? /PASTAPER/
Bienvenue parmi nous. :3
Bakura K. Imeyama
Je suis un(e) rebelle.
Messages : 62 Date d'inscription : 07/11/2013
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 1 Déc - 7:23
J'FAIS UN METRE SOIXANTE DIX NEUF DEJA DDD: Fin bref, on va bien s'entendre je crois
Ayumu Rengu
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Messages : 534 Date d'inscription : 31/07/2013
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 15 Déc - 7:17
Des nouvelles ici ? °° Sinon, je vais devoir mettre ta fiche à la corbeille =/
Loïs H. Wolf
Je suis un(e) artiste.
Messages : 21 Date d'inscription : 23/11/2013
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Dim 22 Déc - 12:26
C'EST LA FANTASMAGORIQUE MAISON SERPENTARD. ♥
... osef. C'est pareil.
Eh bien.. oui. MA FICHE EST ACHEVEE. Après moult jours de retard, j'annonce officiellement que je viens à l'instant de finir de rédiger mon histoire et que, well, it's done. Par contre ! Je ne cautionne en aucun cas des fautes éventuellement faites. L'heure tardive (j'exagère, il n'est que minuit et quelques minutes, mais mon corps s'étant habitué à se coucher plus tôt, je suis fatiguée ewai) en est la seule fautive. Voilà voilà. ♥
Ayame Conzallone
Dire ce qu'on ne fait pas, faire ce qu'on ne dit pas.
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Lun 23 Déc - 7:55
Alors alors, dejà j'adore ta façon d'écrire, c'est super beau *.*
Bon je vois pas de gros problèmes, juste que pour obtenir la bourse il faut passer un examen extrèmement compliqué, il faut que tu sache que Lois ne peut pas l'avoir réussi comme ça d'un claquement de doigt. Même les meilleurs, les "surdoués" doivent bosser à fond pour réussir. Donc le "Contre toutes attentes" d'accord mais en ayant beaucoup travaillé avant ;)
Pour moi ya pas d'autres problèmes mais je pense qu'il faudrait que tu insiste plusla dessus ;) Voilà
La Directrice
Je suis la directrice et je le vis très bien !
Messages : 164 Date d'inscription : 20/07/2013
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Lun 23 Déc - 8:27
Bonjour ♥
J'ai lu ta fiche et je suis plus ou moins d'accord avec Ayame ^.^ Je pense que ton personnage à l'air d'avoir travailler derrière, mais ce n'est peut-être pas assez détailler =/ (et si c'était possible de rajouter que dans ses cours de guitare, elle a étudié le solfège ?) Donc euh, je pense (mais je suis pas sûre, je l'ai écrit il y a longtemps) que les artistes ont aussi un test sur les matières générales à passer =) Où ils doivent avoir 12/20 ou 10/20, je sais plus o: Mais en tout cas, vu le niveau, faudrait que tu précies que soit Loïs est assez intelligente comme fille, soit elle a bossé dur derrière ? ^^
Désolée de t'ennuyer ♥ (y a pas tellement de choses sur lesquelles je suis stricte, mais malheureusement, l'entrée à Taiyou en fait partie 8D Tu as vu mon côté obscure mdr)
Ayumu Rengu
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Messages : 534 Date d'inscription : 31/07/2013
Sujet: Re: loïs Ω sometimes, we forget who we really are Lun 23 Déc - 12:30
Voilà, tu as bien modifié *w* Je te valide donc =)