Clarence de Vierson

« Life is a playground or nothing »

Carte d'identité Surnoms : Clarence, Mr de Vierson Âge : 19 ans Date de naissance : 27 juin 1994 Lieu de naissance : France Nationalité : française Orientation sexuelle : Bisexuel Groupe choisis : Black Pearl Statut : élève

Derrière l'écran Pseudo : Lizelandre Âge : 17 ans (jusqu'en décembre !!) Présence : Tous les jours plus ou moins. Comment as-tu connu Taiyou?  héhé c'est un secret ;P Commentaires/Suggestions : Stay awesome ! Code du règlement :

Physique ♣ Couleur de yeux : bleus clairs ♣ Couleur de cheveux :blonds cendrés ♣ Coupe de cheveux : mi-long jusqu'aux épaules ♣ Couleur de peau : blanche ♣ Poids : 82 kg ♣ Taille : 1m91 ♣ Corpulence : des muscles bien définis ♣ Changement physique : aucun, je suis parfait comme je suis. ♣ Particularité(s) : (exemple de particularité : piercings, tatouages, autres...) Une boucle à l'oreille gauche. Porte des lunettes pour lire. ♣ Complexe(s) : Aucun, je suis parfait !

Caractère Clarence est beau, Clarence est bon, et Clarence le sait. Un sourire, un clin d’œil, un baiser envoyé et vous voilà sous son charme. Ne vous en formalisez pas, c’est normal, en tout cas lui le pense. Quand on a reçu un tel cadeau à la naissance, pourquoi le cacher ? Autant en profiter. Un brin charmeur, le jeune homme aime faire plaisir, et sait qu’il plait. Ne vous privez pas de l’admirer, de le contempler. De toute façon, il sait déjà l’effet qu’il vous fait ! Quand on lui parle, on a l’impression d’être la personne la plus importante à ses yeux, mais ne vous y fiez pas, c’est seulement ses yeux, son sourire, ses actions qui font croire cela. Clarence vous offrira des fleurs, il vous prendra dans ses bras, vous volera un ou deux baisers, peut-être même plus si vous êtes chanceux ou chanceuse. Mais ne vous attachez pas trop, c’est ainsi qu’il se comporte avec tout le monde, sans exception, sans s’attacher. Clarence est fainéant, Clarence est paresseux et Clarence le vit bien. Il préfère de loin trainer dans les jardins ou près de la fontaine. C’est vrai, l’étudiant ne fait pas grand chose, mais quand il s’y met c’est toujours avec méthode, et talent. Comme sa fonction de porte-parole du Comité des étudiants, cela lui convient parfaitement. Qui serait plus apte que lui à parler devant un auditoire ? Personne. Pareil pour la natation, sa passion. Ou même ses cours, quand il décide d’y participer bien entendu. Clarence aime s’amuser, Clarence aime rigoler et Clarence aime la vie. L’héritier ne se prend jamais la tête et profite de chaque journée. Il connaît tout le monde et tout le monde le connaît, mais ses vrais amis, il les compte sur les doigts de la main. De toute façon pour Clarence ce n’est pas important, sa philosophie est assez simple : « Flâner, charmer, baiser."

Histoire

« Tu es beau mon fils. »
Me répétait ma mère le soir avant de me border et de m’embrasser sur le front. Elle s’éloignait ensuite, laissant une délicate odeur d’ambre derrière elle, et fermait doucement la porte de ma grande chambre d’enfant.  
Puis, je suis devenu plus grand, et ma mère n’est plus venue me dire bonne nuit, elle ne m’a plus embrassé sur le front. Cependant, je pouvais encore apercevoir son regard aimant se poser sur mon corps athlétique et admirer sans doute la merveille qu’elle avait portée en son ventre pendant neuf longs mois.
Ensuite, je n’ai même plus eu ses regards attendris, bien trop faible pour quitter le lit elle ne pouvait venir me voir et on m’interdisait l’entrée de sa chambre. Je ne pouvais que me faufiler la nuit et la regarder dormir, une légère respiration comme seule indication que ma mère était toujours de ce monde.  
Quelques mois plus tard, habillé en noir, je disais au revoir à ma mère, à la première personne à m’avoir aimé et chouchouté. Mon monde devint gris. Mais, le temps passa, ma douleur s’atténua, les couleurs réapparurent. J’étais jeune, j’étais beau, j’étais riche. Je la rendrai fière.

« Ce que votre fils est beau Mr le Duc de Vierson. »
Disaient des amis et des connaissances à mon père en me scrutant du regard, en me pinçant les joues et en m’offrant des bonbons.
« Ce qu’il a l’air sage. »
Ces personnes ne me connaissaient pas, ils ne s’arrêtaient qu’au titre de noblesse de mon père et à la beauté de ma peau d’albâtre et de mes yeux azures. Ils m’étaient aussi indifférents qu’une insignifiante marguerite dans un jardin de roses, et encore les marguerites au moins ne parlaient pas.
J’ai appris à plaquer un sourire sur mon visage, à complimenter de parfaits inconnus et toutes  les étiquettes qu’un héritier doit savoir. Mais je m’en moquais, je passais mon temps à lire Platon et les philosophes, Baudelaire et les poètes, Racine et les dramaturges, Zola et les écrivains. Ce que pensait les autres n’avaient pas d’importance, mais je respectais trop le souvenir de ma mère pour ternir ce nom, De Vierson et ce titre, Duc.

« Vous avez vu Clarence ? Il est trop beau. »
S’écriaient les filles en gloussant et les garçons en m’enviant. Ils n’énonçaient qu’un fait que je ne savais que trop bien. Je haussais les épaules face à tant d’attention et m’en servait à mon avantage. Je n’avais même pas eu besoin d’apprendre à charmer, comme mon physique c’était inné chez moi.
En cachette, je retrouvai une fille ou un garçon, je l’embrassais, et parfois plus. C’était là des besoins naturels, je ne connaissais pas l’amour, excepté l’amour que je me portais ou celui que j’avais porté à ma mère lorsque celle-ci était encore vivante. Je ne faisais jamais rien qu’y puisse ternir ma réputation, je ne cherchais pas non plus à blesser les autres, j’aimais faire plaisir, et je donnais autant que je prenais dans chaque échange, dans chaque baiser, dans chaque caresse.

« Si tu ne veux pas faire d’économie comme moi, je préfère t’envoyer dans une école au loin. »
Me cria mon père, rouge de colère, il y avait quatre ans de cela. Tout devint plus facile. Le cadre était idéal, les élèves pour la plupart sympathiques. Dès la première année, j'entrais dans le Comité des étudiants comme Porte Parole après que l'on me l'ait demandé. Réticent au départ j’avais fini par accepter. Cela ne demandait pas trop d’effort et puis c’était plaisant de voir tous ces gens m’écouter avec respect. Ma scolarité se passait sans problème. Participant lorsque l’envie m’en prenait, flânant la plupart du temps. Butinant de filles en garçons et de garçons en filles. La vie était aussi simple et belle que possible et je ne me prenais pas la tête en entamant ma dernière année dans ce pensionnat de riches et de surdoués.
S’il me manquait quelque chose, je ne m’en rendais tout simplement pas compte.

♣ Jinguji Ren Uta-No-Prince-Sama

Bienvenue. ♥