Aleksei Mikhailov

« Don't f***ing bother me»

Carte d'identité Surnoms : Aleks ♥ Âge : 17 ans Date de naissance : 05/08/1996 Lieu de naissance : Russie, dans le palais du tsar Nationalité : Russe (Vodka pliz) Orientation sexuelle : Rainbow powaaa Groupe choisis : Ruby Statut : (élève ou personnel) élève

Derrière l'écran Pseudo : Skopati Âge : 17 ans Présence : Sais pas, on va voir quand ce sera la rentrée. Comment as-tu connu Taiyou? Merci Clarence ♥ Commentaires/Suggestions : J'attends de voir comment le forum va évoluer) Code du règlement :

Physique ♣ Couleur de yeux : Bleu ♣ Couleur de cheveux : Violet ♣ Coupe de cheveux : Des cheveux longs, souvent attachés ♣ Couleur de peau : Blanc ♣ Poids : 62 kilos ♣ Taille : 1m80 ♣ Corpulence : Parfaite xD ♣ Changement physique : Quand il a décidé de devenir gay, il s'est teint les cheveux en violet. ♣ Particularité(s) : Sa beauté, ses yeux, son tatouage en forme de papillon sur la joue gauche. ♣ Complexe(s) : Son passé de mafieux. Ses fesses. On ne touche pas à ses fesses, sans permission compris ? Il est très sensible dans ce coin là et utilise du papier toilette ultra doux, voire pour peau de bébé. Quand sur l'emballage de son PQ il est écrit "Le papier toilette Lotus® Ultra-Doux vraiment prend soin de tous vos sens. Sa texture ultra moelleuse vous procure une sensation de douceur infinie.", il achète. Tout de suite. Son postérieur qu'il soigne tant est sa fierté mais aussi sa faiblesse. Quand on le touche sans prévenir et sans autorisation, Aleksei semble changer de personnalité. Il saute de là où il se tenait et se met à agir comme une jeune fille qui vient de perdre sa virginité. "Vous pouvez me toucher partout, quand vous voulez, où vous voulez. Mais pour mes fesses, il faut d'abord demander."

Caractère « Me fais pas chier, je dors là, t’as pas vu ? » Voilà Aleksei vous a dit bonjour, vous êtes content ? Ah oui pardon, il vient plutôt de vous dire au revoir là, voire adieu, à jamais. Mais ne vous inquiétez pas, ce n’est pas qu’il ne vous aime pas, il est juste comme ça. Aleksei, Aleks pour les intimes, envoie chier tout le monde. Il ne fait principalement que ça à Taiyou : vous le croiserez, rasant les couloirs, à moitié endormi, se demandant s’il doit aller en cours alors qu’il ne reste que cinq minutes avant la sonnerie. Glander, voilà sa spécialité. Il n’est pas spécialement méchant ni flemmard pourtant, il essaie même d’être gentil de temps en temps. Il a quelques amis, parle aux gens dont la tête lui revient et il lui arrive même de partager son moment spécial de la journée, la sieste, avec quelqu’un, un homme de préférence. Aleksei est un bad boy, mais il est gay alors ça excuse tout. Les filles se sentent tout d’un coup plus proches de lui et veulent avoir le « copain gay » présent dans toutes les séries, même si elles se sentent vite compte qu’elles parlent à un mur. Cela n’empêche rien : notre bel éphèbe reste populaire chez les deux sexes et cela lui plaît. Il baigne dans un océan de gloire et aime à se parer d’une aura de mystère. Il est intelligent, Aleks, car il sait très bien que si les gens savaient qu’il était un ancien mafieux aux mains tachées de sang, ils s’écarteraient de lui. Personne ne doit savoir que son QI est supérieur à 180, qu’il a tué son premier homme à 10 ans, et qu’il a trompé sa copine avec son ex belle-mère à 15 ans. Tout le monde doit croire que c’est un ange. Alors, c’est lui qui fait semblant de s’écarter, d’ériger un mur de glace entre lui et la société. Aleksei se laisse admirer, mais pas toucher.

Histoire

« Tu es né pour régner, fils. »

Petit Aleksei croit fermement aux paroles du parrain qui à ses yeux a toujours raison. A la moindre de ses volontés, les sous-fifres s’agitent déjà et il n’a qu’à formuler un vœu pour qu’il soit immédiatement réalisé. « Je veux que le chien qui aboie tous les matins se taise. » Et hop, c’est fait, le vilain canin est égorgé et personne n’est là pour gêner l’enfant. Si la tête d’un des serviteurs ne lui revient pas, il n’a qu’à en glisser un mot à sa gouvernante, une Matriochka russe pure et dure, à l’exception près qu’elle est experte en arts martiaux et ancienne agente du KGB. La brave Sonia se chargera à sa place de déplacer le pauvre domestique de service ou pire, le licenciera. Or les contrats sont signés à vie dans la mafia. On sert jusqu’à ce qu’on… meurt.
Le parrain voit d’un bon œil la cruauté du petit Aleksei. L’héritier Mikhailov semble digne de son nom. Il le préfère à l’enfant de sa première femme, Sergueï, qu’il juge trop mou et faible pour ses cinq ans. Au moins, ce petit gars du haut de ses quatre ans fait preuve de caractère. Et puis, il n’a rien à redire sur son physique. Non seulement il est déjà plus fort que les enfants des domestiques qu’il martyrise, mais il n’est pas mal fait de sa personne. Ses cheveux blonds sont la fierté de sa mère qui les coiffe tous les matins. « Notre petit Aleks est né couronné d’or. » lui murmure-t-elle avant qu’il ne s’endorme. Elle est déjà sûre que Aleksei va prendre la place du fils aîné et le parrain en est aussi convaincu. On peut le voir au nombre de présents qu’il offre au petit.
Tu es une vraie graine de mafieux, Aleks.

«Que tu es beau quand tu es cruel. »

Sa belle-mère aime à lui chuchoter cela à l’oreille quand ils sont au lit. Cela fait depuis déjà un an que ces rencontres nocturnes sont devenues fréquentes, et elle semble y avoir pris goût. Il est vrai qu’il doit être dur pour une jeune et belle femme de coucher avec un vieux barbon tel que le parrain alors qu’elle a un beau jouvenceau de quinze ans à disposition. De plus, Aleksei se laisse faire ou plutôt se prête plutôt habilement à ce sensuel petit jeu. Elle ne l’attire pas particulièrement, et n’est même pas la première femme qu’il ait prise, mais il trouve amusant de s’emparer de la « possession » de son père, qu’il déteste.
Il a laissé mourir sa mère. Quand un groupe ennemi l’a prise en otage, le parrain a décidé de laisser faire. Le prix à payer, cinq millions de roubles, n’en valait pas la peine et il n’avait pas envie de dépêcher ses hommes qui devaient travailler sur une affaire de pétrole en Sibérie. Fatigués d’attendre, les ravisseurs lui ont envoyé la tête de sa femme dans un colis et c’est Aleksei qui a dû ouvrir le paquet. Son sang s’est alors figé dans ses veines ; une froide et destructrice colère a envahi tous ses membres. Il a hacké les systèmes de surveillance du QG ennemi et à la tête d’une petite escouade, il s’est chargé d’éliminer chaque membre de l’organisation, n’épargnant ni femme ni enfant. Aleksei avait alors douze ans.
Il regarde d’un œil froid la femme qui gémit sous le poids de son corps et se montre plus violent. Si elle savait que son mari était bel et bien au courant de leur relation et que cela ne le gêne pas tant que cela. Elle se croit désirée, aimée, mais ne sait même pas qu’elle n’est qu’un jouet qui ne fait que passer de mains en mains. Quelle pitié.

« Tu es dégoûtant. »

La servante laisse tomber son plateau par terre et la théière éclate en mille morceaux. Aleks qui était en train d’embrasser son précepteur lui jette un coup d’œil puis hausse les épaules. Qu’a-t-elle donc à s’agiter ainsi ? Il ne fait rien de mal. Il veut poursuivre ce qu’ils étaient en train de faire mais cette fois-ci, c’est son amant qui le repousse. La panique s’est dessinée sur les traits de Vanya et altère sa beauté. Aleksei, un peu agacé, lui demande ce qu’il se passe.
« Le parrain… il va me tuer.
Le mafieux roule des yeux et réplique :
- Pourquoi ?
Le brun jeune homme ne l’écoute même et poursuit sur sa lancée :
- Je dois fuir… non, nous devrions fuir. Aleksei, viens avec moi. Nous vivrons notre amour au grand jour.
Le principal intéressé ouvre de grands yeux. Le beau Vanya, les yeux fiévreux, la parole hachée et précipitée, a l’air plus que sérieux. Un sourire se dessine aux coins de ses lèvres et Aleksei caresse la joue de son amant. Qu’il est mignon quand il est ainsi. Il a vraiment cru qu’il y avait quelque chose entre eux. Quand Vanya est ainsi, Aleks a vraiment envie de le renverser sur le lit et de l’embrasser. Il s’apprête à calmer le trouble du jeune homme et à passer à l’action quand la porte s’ouvre avec fracas.
Aleksei jette un coup d’œil à l’intrus.
- Père, tu ne vois pas que tu nous dérange ? »
Le parrain le gifle à la volée.

« Redeviens comme tu étais.»

Aleksei n’a pas écouté les ordres du parrain et a continué à fréquenter des multitudes de jeunes hommes au visage et au corps attrayant. Il en a même personnellement débauché quelques-uns. Cela fait déjà plusieurs mois qu’il n’a pas touché à une seule femme, et il se sent bien. Sa belle-mère lui jette de temps en temps un regard étrange quand elle le croise dans les couloirs. Aujourd’hui, elle le prend dans un coin et murmure :
« Pourquoi tourmentes-tu ainsi le parrain ? Si tu manques de femmes, je suis toujours là tu sais. »
Avec un air dégoûté, il la repousse violemment. Le corps de cette femme lui répugne depuis qu’il a commencé à fréquenter des hommes. Pourquoi personne ne veut-il comprendre qu’il n’a pas envie de tout cela ? Cela n’altère pourtant en rien les activités de la mafia. Aleksei ne comprend pas. En quoi préférer les hommes le rend inapte à devenir le parrain ? Ce n’est pas comme si il s’était changé en femme, il est toujours le même. Pourquoi lui demander de choisir ?
Ne prenant même pas la peine d’écouter les paroles de sa belle-mère, il s’éloigne à grands pas, claque la porte de la maison principale et entre chez le coiffeur le plus proche. Personne n’a le droit de contrôler sa vie. Aleksei est le seul maître ici.
«  Teignez-moi les cheveux en violet.
- Pardon ? … n’êtes-vous pas Aleksei Mikhailov ?
- En violet, j’ai dit. »
Agacé par le trop lent coiffeur, le jeune homme a sorti son pistolet.

« Disparais. »

Plié en deux, Aleksei tente de protéger son visage des coups de son père. La batte qu’il utilise lui a déjà brisé une ou deux côtes mais le jeune homme n’en a cure. Il n’a rien à faire de ce père indigne. De plus, le parrain se croit fort mais son fils a déjà décelé nombre de faiblesses dans sa manière de faire. Quand il sera à la tête de l’affaire, il pourra mettre tout cela à l’ordre du jour, changer l’état d’esprit si démodé de la mafia. En attendant, il doit supporter les coups du parrain qui n’arrive même pas à supporter que son fils soit gay.
« Tu me fais honte Pourquoi ne veux-tu pas revenir sur le droit chemin, goûter à une bonne femme pour une fois ? Tu étais normal pourtant, parfait même. Qu’ai-je fait de mal pour que tu deviennes comme ça ?
Aleks ricane. Curieux de dire ça quand on travaille dans la mafia.
- Tu te rends compte. Je vais devoir laisser Sergueï diriger le groupe qui est ma vie, mon sang…
- Vous n’êtes pas obligé de faire cela. Je ne suis toujours pas mort, vous savez.
- Tais-toi !
Sans pitié, le parrain lui assène un coup de pied dans le ventre qui lui coupe la respiration.
- Toi, je ne veux plus te voir. Ta belle-mère t’a trouvé une école à l’étranger. Vas-y et ne reviens jamais. »
Le père jette devant la tête ensanglantée de son fils un passeport et un billet d’avion avant de tourner les talons. Tout en reprenant son souffle, Aleksei se relève. La colère bouillonne dans ses veines et sa vision est encore trouble. Tout en essuyant le sang qui coule de son nez, il lance à son père :
- Ne t’inquiète pas, papa. Je reprendrais l’affaire un jour. »
Il lui lance un doigt d’honneur.

« Bienvenue à Taiyou »

Curieusement, personne ne se demande pourquoi le jeune homme aux cheveux violets est arrivé de nulle part au milieu de la deuxième année. Tous assument qu’il a de l’argent et qu’il en profite. Ils n’ont pas tort. Aleksei a vite compris que même s’il n’était plus le fils du chef ici, il faisait quand même partie des privilégiés. C’est pour cela qu’il ne fait rien. Il s’est inscrit chez les Ruby et a beau être très bon en sciences, il a tout sauf envie de travailler. Par rapport aux activités auxquelles il s’adonnait quand il était dans la mafia, les cours lui paraissent plats et ennuyants. La vie est paisible ici mais elle manque d’adrénaline.
Cela n’est pas uniquement à cause du fait que les autres ne sont pas comme lui. Aleks ne fait aucun effort pour sympathiser avec les autres et n’en a tout simplement pas envie. De sa vie précédente, il n’a même pas appris ce que voulait dire le mot « ami » et a l’habitude que les gens se regroupent autour de lui sans qu’il ne bouge le petit doigt. N’ayant ici aucun domestique, le jeune homme s’est d’abord senti désemparé puis s’est vite retrouvé consolé. Il a tout de même récolté quelques admirateurs/trices au sein de l’école et cela compense l’attention dont il manque.
Une raison peut aussi expliquer le manque d’intérêt d’Aleksei pour l’école. Il pense qu’ici, il ne fait pas que passer, sa vraie destination est ailleurs dans le pays des steppes enneigées. Mais son séjour à Taiyou Gakuen sera-t-il aussi dénué d’intérêt qu’il semble le croire ?

-A suivre.-

♣ Kamui Gakupo Vocaloid

Bienvenue. ♥

J'aime bien le caractère de ton perso. Pourrait peut-être assez bien s'entendre avec Ara. :3